L'ALF  ---  Historique

 
Historique Vie de
l'association
Au Pays
des Cèdres
Infos pratiques

 

   Au moment des JMJ (Journées Mondiales de la Jeunesse), organisées en France du 14 au 24 août 1997, le diocèse d'Angers était depuis un an en lien avec le Liban par la présence de trois prêtres libanais à Angers qui poursuivaient des études à l'Université Catholique de l'Ouest (UCO) et participaient à l'apostolat dans nos paroisses. Ainsi, les liens se sont renforcés. Pendant ce rassemblement international nous avons accueilli, dans notre département, une délégation de 143 jeunes libanais (de la région de Jbeil) avec qui nous avons pu partager des moments aussi forts qu'inoubliables. De retour de Paris, il s'était vite fait sentir le besoin de garder le contact avec nos amis du Liban. 

   Vu les nombreux liens historiques et culturels qui existent déjà entre la France et le Liban depuis de longs siècles et la facilité de communication avec un pays francophone, maintenir les liens avec le Liban et s'ouvrir à sa culture orientale furent au centre de nos préoccupations. L'Association d'Alliance : Jbeil-Angers (AAJA) a donc été créée pour nous permettre de mener à bien cet objectif.
Cette association a un fonctionnement basé sur la loi de 1901.

   Plusieurs événements ont eu lieu à partir de cette date. 
Le plus important fut le voyage organisé en août 1998 où près de 100 Français (50 de l'Anjou et 50 de l'Orne, ayant eux aussi des liens avec la région de Jbeil) sont partis pendant deux semaines, découvrir le Pays des Cèdres. Découvrez quelques informations sur la page "Aux Pays des Cèdres".
L'AAJA, c'était aussi des repas libanais, des messes maronites et des conférences.

   Les années passant, les jeunes, qui constituaient année après année les équipes dirigeantes, se sont retrouvés aux quatre coins de la France... et même du globe pour plusieurs d'entre eux. L'AAJA s'est alors retrouvée à vivre au ralenti.  

   Durant cette période d'activité "ralentie", quelques adhérents continuaient à réfléchir sur quelles suites donner à l'AAJA. 

   Il est alors apparu nécessaire d'élargir le cercle dans le but principal de perpétuer et de faire connaître les traditions cultuelles et culturelles du Liban. Quelques propositions : apprendre aux enfants des notions de libanais, faire connaître le Liban à travers des conférences, développer la danse et la cuisine traditionnelle...
   Il est dans le même temps possible, pour les sympathisants de l'association, de trouver au sein de l'ALF une aide pour la réalisation de leur(s) projet(s) éventuel(s) au Liban (par exemple, jeunes français désirant enseigner le français durant un mois... ou plus).

   C'est ainsi qu'après modification des statuts, l'AAJA a été rebaptisée :
"Amitié Libano-Française" (ALF).

 

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